Dans le fatras qui borde les villes, j’aime par dessus tout les jardins ouvriers et leurs cabanes de matériaux récupérés, édicules bizarres qui témoignent de l’affairement humain.
Ici à Langeac, cabanes de récup et cabanes de pierres d’un autre siècle se répondent par dessus les vieux murs appareillés de galets.
Les dessiner, bien assise au soleil, est un double plaisir : tant est à voir, les matières, les couleurs, brique, plastique ou taules, vieux bois noircis, grillages...
Quand je prends le train de Clermont, je les retrouve au bord des voies. Je vois alors que l’une d’elle, de planches mal assemblées, a été prolongée d’une pergola, d’une treille sur des fils tendus. Elle parle de l’été, des verres partagés dans son ombre, du repos après le travail.
Elle parle de la vie.
Ici à Langeac, cabanes de récup et cabanes de pierres d’un autre siècle se répondent par dessus les vieux murs appareillés de galets.
Les dessiner, bien assise au soleil, est un double plaisir : tant est à voir, les matières, les couleurs, brique, plastique ou taules, vieux bois noircis, grillages...
Quand je prends le train de Clermont, je les retrouve au bord des voies. Je vois alors que l’une d’elle, de planches mal assemblées, a été prolongée d’une pergola, d’une treille sur des fils tendus. Elle parle de l’été, des verres partagés dans son ombre, du repos après le travail.
Elle parle de la vie.
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