Comme l’épi sur la branche de petites limagnes S’accrochent vers les sourcesA ces étés sans pluiePlus loin le nouveau monde Les horloges en panneVeillant sur les falaises qui sombrent dans les haldesLa course d’un Allier, les poussières d’un étéEn sorte de préludes aux gammes tempérées Pineraies estivales aux bribes de résinesaDépilages béants lardant d’anciens ubacsQue les hommes ont quittésDans l’ombre des regretsImages qui m’étreignentAux détours d’une vieA ces étés sans pluiesSavoureuses sous la tuileY dorment sous les tertres Des semailles d’amourElles veillent ces autrefois.Comme l’épi sur la branche de petites limagnes S’accrochent vers les sourcesA ces étés sans pluiePlus loin le nouveau monde Les horloges en panneVeillant sur les falaises qui sombrent dans les haldesLa course d’un Allier, les poussières d’un étéEn sorte de préludes aux gammes tempérées Pineraies estivales aux bribes de résinesaDépilages béants lardant d’anciens ubacsQue les hommes ont quittésDans l’ombre des regretsImages qui m’étreignentAux détours d’une vieA ces étés sans pluiesSavoureuses sous la tuileY dorment sous les tertres Des semailles d’amourElles veillent ces autrefois
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S’accrochent vers les sources
A ces étés sans pluie
Plus loin le nouveau monde
Les horloges en panne
Veillant sur les falaises qui sombrent dans les haldes
La course d’un Allier, les poussières d’un été
En sorte de préludes aux gammes tempérées
Pineraies estivales aux bribes de résinesa
Dépilages béants lardant d’anciens ubacs
Que les hommes ont quittés
Dans l’ombre des regrets
Images qui m’étreignent
Aux détours d’une vie
A ces étés sans pluies
Savoureuses sous la tuile
Y dorment sous les tertres
Des semailles d’amour
Elles veillent ces autrefois.
Comme l’épi sur la branche de petites limagnes
S’accrochent vers les sources
A ces étés sans pluie
Plus loin le nouveau monde
Les horloges en panne
Veillant sur les falaises qui sombrent dans les haldes
La course d’un Allier, les poussières d’un été
En sorte de préludes aux gammes tempérées
Pineraies estivales aux bribes de résinesa
Dépilages béants lardant d’anciens ubacs
Que les hommes ont quittés
Dans l’ombre des regrets
Images qui m’étreignent
Aux détours d’une vie
A ces étés sans pluies
Savoureuses sous la tuile
Y dorment sous les tertres
Des semailles d’amour
Elles veillent ces autrefois