lundi 6 février 2012

Au viaduc des Fades

Il y a longtemps que je n'ai revu le géant de fer et pierre. On le dit bien malade, son tablier bouffé par la rouille, là-haut, à 132 mètres au dessus de la Sioule.
Je plante là ma créature, passeur d'enfant, entre Drac des légendes et Christophore, corps de percheron et crinière romantique.

2 commentaires:

  1. Faudrait qu'on aille chercher des" trucs "que j'ai pu écrire à propos de ce coin machin de fer et de pierre qu(il serait plus pertinent de qualifier de ferro-cristalin ou ferro-cristaloide et meme cristaloidien, à propos de l'activité qui se tient dans ses piles creuses par lesquelles sont remontés les fameux cristaux des Fades qui sont acheminés la nuit venue par un systéme qui se propage à l'intérieur du tablier au point que certains l'appelle la tour Eiffel horizontale et que l'ingéniosité du " truc" c'est d'attirer le regard vers le haut alors que l'essentiel se passe à l'horizontale. Il serait intéressantd'ailleurs pour y voir un peu plus clair d'y passer un coup de verticalo-horizontalisateur pour déterminer qu'elles sont les forces qui dominent dommage la banalyse avait encore de belles nuits devant elle ici ! Qui avait intéret à la voir disparaitre, nom d'un
    centaure !

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  2. j'aime cette image et ce que véronique m'en a dit : Cette image est en quelque sorte l'avatar ultime du "réprouvé". Dans les légendes auvergnates, le cheval Drac noie les enfants qui ont l'imprudence de grimper sur son dos…
    Cette image est pour moi celle de l'ambigüité du passeur.
    merci

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